Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine
Ce récit est la suite de : Stage d'amaigrissement pour soumis (suite 2)
il y a 11 ans
Madame X, se tient devant lui, il aperçois dans sa main droite une cravache,
La voix suave, mais autoritaire de Madame X, lui ordonne, « Tourne d'un quart de tour à droite et avance jusqu'à ce que trouve la table, tu t'y installera dessus de dos, le cou et les mains dans les emplacements prévus et pas un mot. »
Il s’exécute, arrive au banc et s’installe comme on lui a dit.
Madame X l'a suivie et une fois qu'il est en place, referme le carcan, fixé au banc sur son cou et ses poignets, le voilà dans l'incapacité de faire un mouvement de défense.
Madame X, se dirige vers le mur et actionne le variateur, la lumière envahi la pièce, et revient vers lui.
En tournant légèrement la tête sur sa droite, il arrive a distinguer un peu de la pièce, à droite de la table où il se trouve entravé, se trouve un meuble doté d'un lavabo et d'un plan de travail, sur lequel est posé, des couches, du talc, une bassine, des lingettes, des fers et d'autre choses, en pivotant sur la gauche, il a un plus grand angle de vue et voit une croix de Saint André, un peu plus loin un portique d’où pendent des chaînes, sur le mur, toute une panoplie d’accessoires, paddles, cravaches, martinets, fouets, masques, baillons et entraves de toutes sortes.
Pendant ce temps, Madame X, a enfilé des gants en latex, c'est munie, d'un carnet, d'un stylo et d'un mètre de couturière. « Tu regarde ton nouvel univers, ici, c'est la salle de punition, ou tu vas obligatoirement passer, ta cellule pour les nuits se trouve aussi dans cette pièce, à moins que ce soit en cage que tu les passent. »
«Je vais prendre tes mesures, il faut bien avoir une idée de ce que tu vas perdre. » Elle en profite aussi pour vérifier et tâter certains points de son anatomie, «Tu es vraiment gras comme un cochon !, Ce stage, va vraiment te faire du bien, mais quelle belle paire de couilles, par contre, tu as un sexe de gamin, il faut une loupe pour le trouver dans cette forêt de poils lorsqu'il est au repos, on vas remédier à cela, une bonne hygiène, commence par un bon rasage, mais avant cela, on va entraver tes chevilles, il ne faudrait pas que je te blesse en te rasant»
Elle se baisse, sort de dessous la table une barre d'écartement, quelle fixe à ses chevilles, ensuite, se saisi d'une large s a n g l e de cuir fixée sur le coté de la table, la passe sur son ventre, puis passe de l'autre coté pour fixée celle-ci grâce à la boucle de ceinture attenante à l'autre s a n g l e, elle se dirige alors vers le lavabo, prend la bassine et fait couler de l'eau dans celle-ci, ouvre un tiroir et en sort de la crème à raser, plusieurs rasoir jetable et une paire de ciseaux, aussitôt, munie de ceux ci, elle coupe les poils trop longs, avant de badigeonner son sexe et son bas ventre de crème à raser, avant de se servir du rasoir, ayant fait le dessus, elle se dirige vers le mur, qui se trouve au niveau du haut de la table.
Elle se saisie alors d'une corde passant dans une poulie fixée au mur et équipée d'un anneau a partir duquel, partent deux s a n g l e s d'une vingtaines de centimètre terminées par des mousquetons, elle fixe ceux-ci à chaque bout de la barre d'écartement et ensuite tire sur la corde, pour ramener les jambes vers le mur, tout en les maintenant écartés et tendus, cela fait, elle fixe la corde et continue son travail de rasage des parties.
Cela terminé, elle rince pour vérifier son travail, puis le sèche à l'aide d'une serviette, prend le talc et une couche, quelle met en place, profitant de la position du soumis, puis relâche doucement la corde, pour faire redescendre les jambes, talque généreusement le sexe rasé et ramène la couche pour finir sa mise en place, cela faite, elle prend un ceinturon en cuir, auquel est rivée un genre de culotte de la même matière, quelle passe sous le dos du soumis et entre ses jambes, pour le faire revenir sur le devant, comme une couche, elle passe chaque bout du ceinturon dans un passant et boucle celui-ci, en terminant par la pose d'un cadenas.
« Te voilà en couche et il t'es impossible de t'en débarrasser, maintenant, je vais te mettre les fers aux chevilles, tu pourra ainsi te déplacer, tu vas en avoir aussi aux poignets, mais sans chaîne, ils seront entravés à la demande, un collier va aussi être serti à ton cou, il me permettra de te tenir en laisse, ou autre, pour cela, je vais ouvrir le carcan qui te maintien sur cette table, une fois que cela sera fait, tu descendra de la table, et tu te mettra à genou face à la table et les poignets posées sur celle-ci. »
Elle le détache et celui-ci se met dans la position demandé, aussitôt, des menottes d'acier son fixées à chacun de ses poignets, ainsi qu'un collier de la même matière, elle lui ajuste aussi une muselière de cuir sur son visage et la cadenasse, et fixe une laisse à son collier.
« Debout chien, je suis ta Maîtresse, suis moi !, lui dit elle en tirant sur la laisse »
Ne pouvant faire autrement, il l'a suit, gêné dans sa marche par les fers à ses chevilles, elle le conduit à la cuisine, dans celle-ci, une chaîne pend du plafond, fixée à un câble tendu d'un angle à l'autre de la pièce, le bout en est cadenassé au collier, dont la laisse a été retiré.
«Voilà ton travail pour ce matin, préparer ta soupe au chou, tu a tout ce qu'il te faut !, maintenant, je te laisse à ton travail. »
Madame X, ou plutôt Maîtresse, puisque c'est ainsi qu'il doit l’appeler, viens de partir, le laissant seul dans la cuisine, devant un tas de légumes, qu'il doit éplucher, laver, couper, faire cuire et mixer, pour son propre supplice.
Maintenant, qu'il est seul, il se demande si c'était vraiment une bonne idée ce stage, mais il a été piégé une fois la porte refermée derrière lui, il ne pouvait rien faire d'autre, que d'obéir, dans sa tête, son esprit a travailler à vitesse grand V, laisser venir et voir, s'il n'y a pas une possibilité de retourner la situation a son avantage, mais ce n'est pas le cas, il ne lui reste qu'a subir.
Il se trouve stupide, sans autre vêtement qu'une couche, qu'en plus, il ne peut poser, grâce à cet harnachement de cuir cadenassé à sa taille, en plus, c'est bien serré, impossible d'essayer de couper ce cuir épais sans risque de se blesser et encore plus impossible de se débarrasser de ces bracelets d'acier qu'il a aux poignets et aux chevilles, il n'y a aucune fermeture visible, tel qu'un cadenas, que l'on pourrait essayer de casser, non, la fermeture est dans la masse, un genre de vis avec une tête spéciale.
Il ne lui reste qu'a faire ce qu'on lui a dit, il s'attelle donc à sa tâche.
Maîtresse, revient en fin de matinée, il a terminé sa tâche, la soupe est prête une odeur de chou, empeste la cuisine.
« Quelle odeur, aère moi cette pièce immédiatement ! »
Il ouvre la fenêtre sans répondre, un puissant coup de cravache lui single les cuisses, il crie de surprise et de douleur.
« Viens ici chien ! »
Il s'exécute, et se place devant elle, et la regarde, une gifle magistrale, le sonne a moitié et le fait chanceler.
« Premièrement, lorsque je te donne un ordre, tu doit répondre, oui Maîtresse, deuxièmement, tu ne doit jamais me regarder dans les yeux, tu dois toujours les avoir baissés, tu as compris ! »
« Oui Maîtresse »
« Bien »
Elle lui retire sa muselière et détache la chaîne de son collier et y fixe la laisse.
« Viens, aujourd'hui, pas de repas, une journée de diète, te fera le plus grand bien. »
En laisse, elle le traîne à l'extérieur et après lui avoir fait contourné la maison, le fait pénétré dans un box, ou elle l'enferme dans le noir complet. Il n'a aucune idée du temps qui passe. Il essaye d' écouter les bruit qui l'entoure, afin de savoir ce qui se passe, tout à coup, la porte s'ouvre, sur Maîtresse, elle tient à la main un harnais muni de son mors, quelle lui fixe et auquel, elle fixe une longe de dressage, puis, le tenant court, elle le sort du box, au passage, elle se saisi d'une chambrière et l’emmène dans une carrière au sable blanc.
Là, elle lui retire les entraves de ses chevilles et se mettant au centre de la carrière, elle laisse du mou à la longe et maniant sa chambrière, avec un claquement sec, ordonne : « Au pas »
Il avance donc au pas, doucement, un coup de chambrière, « Plus haut les genoux », il s'exécute, cela dure un bon moment jusqu'à ce que.
« Maintenant, nous allons passé, au trot, allez mon gros ! », un nouveau claquement de chambrière et le voilà qui court tout autour d'elle, revigoré par quelques coups bien placé, elle le fit courir ainsi plus d'une heure, la transpiration suinté de toutes les pores de sa peau.
« Au pas », Elle lui fait faire deux ou trois tour en marchant, puis lui refixe les entraves aux chevilles et l’entraîne vers l’annexe, ou il était le matin, là, elle le fait se désaltéré comme une bête, à même un seau de fer blanc, rempli d'eau, avant de l'amené vers le portique qu'il avait déjà repéré lorsqu'il était attaché sur la table, elle lui fait levé les bras et fixe chacun de ses poignets à une chaîne, il se trouve ainsi, les bras écartés, elle lui enlève son harnais.
Elle l'asperge avec une lance à incendie munie d'une buse à plusieurs positions, allant du jet bâton à la pulvérisation, pour le rafraîchir et nettoyer sa sueur, pour cela, elle utilise un jet moyen, voyant qu'il a la chair de poule, elle le réchauffe à l'aide d'un martinet à longues lanières de latex, puis le laisse là pantelant.
Elle revient un moment plus tard, lui remet la muselière, fixe la laisse au collier, le détache, puis, le ramène dans la cuisine, ou à nouveau, il se retrouve attaché à la chaîne, il va devoir faire la vaisselle, avant de cuisiner pour sa maîtresse. Les corvées terminées, elle le ramène dans l'annexe, elle le fait rentrer dans une petit pièce, dans laquelle, se trouve une couchette, faite d'une épaisse planche de bois, sur laquelle est posée une paillasse, elle lui attache les poignets avec une chaîne relier au collier, puis, l'oblige à se coucher et fixe au collier la chaîne scellé dans le mur.
« Bonne nuit chien, demain sera un autre jour pour toi »
Elle sort, referme la porte sur lui, il entend le verrou et se retrouve dans le noir.
Sa première nuit est peuplé de rêves et de cauchemars, il dort très mal, se réveille plusieurs fois au cours de la nuit, une envie d'uriner le prend, mais, il se retient, se refusant à se soulager dans la couche, mais, n'y tenant plus il doit s'avouer vaincu et inonde copieusement sa couche.
Un bruit de verrou, Maîtresse est là, elle le détache et l'amène au portique, l'attache comme la veille, lui détache le ceinturon de sa taille, lui retire sa couche et le tuyau d'arrosage reprend du service, ce matin, pas de martinet, elle lui détache les poignets mais fixe une chaîne au collier avant de lui donner une serviette éponge pour qu'il puisse s’essuyer.
Ensuite, laisse à la place de la chaîne, direction la table, pour mise en place d'une nouvelle couche, là, la laisse est juste fixé à la table et pas besoin de la corde, pour lui faire lever les fesses, puis les jambes, la couche en place, le ceinturon reprend sa place avec son cadenas, puis, direction la cuisine, pas de chaîne, mais attaché sur une chaise, Maîtresse, l'oblige à manger sa soupe, ensuite, retour vers la salle.
« Ce matin, çà vas être ménage, tu vas enfiler ta tenue de ménage » et elle lui tend une tenue de soubrette, robe noire et petit tablier blanc.
« Tu vas aussi apprendre de nouvelles choses, dorénavant, lorsque tu sera en tenue de soubrette et devant moi, tu devra être à genoux, les mains posés sur ceux-ci, paume ouverte vers le haut et les yeux baissés. Dans cette position, tu recevra les ordres pour ce que tu aura à faire comme ménage, vu que pour le ménage, tu ne pourra être enchaîné comme à la cuisine, je te conseille de ne pas faire le moindre écart et attention, tout travail mal fait devra se payer par une punition, lorsque celles-ci seront terminé, tu sera mis au jardin pour bêcher une parcelle, pour cela tu te déshabillera et restera en couche. »
En laisse, il est conduit à la maison principale afin d'y effectuer le ménage, celui-ci terminé et après qu'il se soit déshabillé, il est conduit au potager, là, tout comme à la cuisine, il y a une chaîne coulissant sur un câble, fixé entre deux poteaux de béton, la chaîne est cadenassé à son collier, on lui fourni une fourche bêche, afin qu'il puisse bêcher la parcelle.
Maîtresse lui dit : « Voilà tu doit bêcher tout ce morceau, allez au travail, je reviens plus tard. »
Maîtresse revient plus tard, il n'a pas terminé sa tâche, il manque deux mètres carré, elle le laisse terminer, le détache et le ramène à la cuisine, elle lui l'oblige a avaler son bol de soupe. Une fois qu'il a terminé, elle le raccompagne dans sa cellule et l'enferme à double tour.
« Repose toi un peu, tout à l'heure, ce sera séance de sport »
Le bruit du verrou, le tire de la léthargie dans laquelle il se trouvait.
« Debout fainéant, il est l'heure du sport !»
Il sort de la cellule, ébloui par l'éclairage, « Stop, ne bouge plus, que je te débarrasse de tes entraves de cheville, voilà qui est fait, maintenant, tu vas faire quelques mouvements de gymnastique, pour t'échauffer, attention, comme tu peut le voir, j'ai mon fouet en main et je sais m'en servir. »
Il s’exécute, faisant tout les mouvements qui lui ont été indiqué, jusqu'à ce que Maîtresse ordonne : « Maintenant, viens ici !, installe toi le dos au sol, tes chevilles dans carcan, tu vas voir, il a été fait spécialement pour le sport, regarde, comme tu peut le voir, il est fixé sur un axe elliptique, là, tes cheville sont au sol, tout à l'heure, tu comprendra pourquoi. »
Elle referme le carcan sur ses chevilles et annonce : «Tu vas faire pour une première fois trois séries de vingt abdominaux, entrecoupé de cinq minutes de pause, comme tes chevilles sont maintenus, tu n'auras pas trop de mal pour les garder au sol. Allez, c'est parti et je veux t'entendre compter à chaque mouvements. »
Il commence, « un …...... deux …...... trois …...... quatre et cela comme jusqu'à la troisième série dix sept …..... dix huit …...... dix neuf …...... vingt, pour arriver à cela, Maîtresse a dût le stimuler de quelques coups de fouet,
«Tu vas maintenant comprendre le pourquoi de ce carcan elliptique, tu vas te relever doucement, et lorsque cela sera fait, tu fera en sorte de te mettre à plat ventre, tu voit, le carcan suit ton mouvement, te voilà en position pour faire des pompes et cela sans aucun mouvement inutile, allez, trois fois une série de vingt pompes, comme pour les abdos, mon fouet va t'aider. »
Il se met donc en position et « une …....... deux …..... trois …....../ …............... / dix huit …..... dix neuf …....... vingt », le fouet, l'a bien motivé, la troisième série a été laborieuse, ses bras ne le supportaient plus.
Maîtresse le délivre du carcan, il se relève et chancelle, elle le pousse vers la cellule et l'enferme de nouveau. « souffle un peu, je vais revenir, avec ta soupe pour ton quatre heure et ensuite, je t'expliquerais plusieurs choses, et tu continuera tes travaux»
Maîtresse revient après une assez longue absence « Tu as de la chance, je vais devoir te laisser enfermer, vu que j'ai un impératif et que je ne sais combien de temps, je vais devoir m'absenter, mais sache que ce n'est que partie remise, voilà ta soupe, pendant que tu mange, écoute bien ce que je vais te dire, c'est ton deuxième jour ici, les jours à venir, seront un peu plus dur, puisque tu vas devoir travailler plus, dans tout les domaines et surtout apprendre à obéir et à réagir au moindre ordre, sache aussi, que vendredi soir, j'ai des amies dominatrices qui viennent pour la soirée et peut être le week-end, tu devra les servir et leur obéir comme si c'était moi, mais tu aura plus d'explication vendredi après midi, ou tu sera briffé pour la soirée. Tu as fini, direction la cellule. »
Il rentre dans son alcôve, Maîtresse, lui fixe la chaîne scellé au mur à son collier et lui remet ses entraves aux chevilles.
Les jours passent, avec toujours plus ou moins le même rythme, levé, portique, jet d'eau, changement de la couche, travaux ménager, dressage dans la carrière, sport et la soupe quatre fois par jour et boire, car maîtresse, le gave d'eau le plus possible, comme cela, la couche sert bien et surtout, a il n'a plus aucune honte à uriner dedans, par contre pour ce qui est de déféquer, il s'en retient à en avoir des crampes.
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